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Sylvain et Tony à l'écoute de Kari Bremnes.

D.I.Y.


Le LB6 en ligne acoustique associé au B12 monté en caisson Onken.


Le choix d'une musicalité toute en finesse qui révèle la moindre subtilité du message sonore.


Quand "transparence" et "beauté" se conjuguent à l'émotion...


Écoute Chez Sylvain F.

Le salon vu du fond.

Détail des câbles réalisés par Sylvain

Le salon vu de l'entrée.

La ligne acoustique en fabrication

Le Micro de calibration couplé au module numérique Vélodyne SMS-1

Sylvain a choisi le LB6 pour sa rapidité et sa transparence. Il a composé son système autour, en veillant à préserver la fonction familiale et conviviale du salon. Le facteur "WAF" intervient donc pour une part dans ce choix d'enceintes de type "colonne", aux dimensions raisonnables. C'est également ce compromis qui a présidé au choix d'un caisson Onken optimisé pour un haut-parleur de 30 cm, en l'occurence notre B12.

Le système a doucement évolué au fil d'améliorations progressives. C'est ainsi que l'amplification a commencé avec un PIONEER SA-7500 vintage. Alors qu'un discret mais entièrement rénové QUAD 303 venait le relayer, un simple et provisoire aténuateur ALPS commandait le volume. Puis ce fut au tour du Digital Driver SMS-1 de VÉLODYNE de venir épauler le caisson.

La source est un lecteur ATOLL CD200, Sylvain a fabriqué lui même les caisses des enceintes, d'abord un prototype avec de l'aggloméré, des renforts de bois et de la thibaude. Puis il est passé à un ensemble en bouleau de finlande superbement laqué blanc. Il a également choisi de fabriquer ses câbles, sur de solides bases qui ne doivent rien à l'ésothérisme. En y regardant de plus près,  on découvre une foule de petites, mais remarquables, optimisations.

C'est d'ailleurs ainsi que Sylvain définit son système : en perpétuelle évolution, vers un idéal qu'il sait inaccessible mais dont il a une idée très précise. C'est en particulier un grave présent sans être envahissant, une définition qui lui permette de se délecter des moindres détails d'un enregistrement, et une scène sonore large, profonce, crédible.

Visualisation de la calibration par preset du Vélodyne SMS1. La courbe de réponse entre 15 et 200 Hertz du système, puis de la ligne acoustique seule. Comme on peut le voir, le caisson n'apporte qu'un discret soutien, car c'est avant tout la clarté et la lisibilité du message sonore qui sont visés.

Quelques étapes de la fabrication du caisson Onken. La simplicité d'un schéma efficace. De nombreux renforts viendront ensuite rigidifier les surfaces.

La partie électronique est le fruit d'associations réfléchies au fil de nombreuses écoutes.

L'ÉCOUTE


Après quelques mesures pour confronter nos impressions subjectives aux chiffres, nous commençons avec une série de disques test qui mettent en évidence un côté ultra-analytique sans pour autant que le son ne soit projetté ou agressif.

On découvre alors un médium précis et velouté, un aigu qui file très haut avec une rare distinction. Le registre grave est parfaitement intégré, au point qu'on se demande si le caisson fonctionne. Il faut le couper pour réaliser l'assise qu'il apporte.

Sylvain note un manque de présence et d'épanouissement dans le médium, qui restreint un peu l'image entre les enceintes.

C'est sur ces points qu'il compte faire évoluer son système. Ceci admis, il faut reconnaitre que la musique que délivre ce système est harmonieuse et très agréable, même si elle reste typée.

Des passages pourtant archi-connus nous arrachent des exclamations de surprise tant les silences s'avèrent fourmillant d'informations.


Tony remarque que le triangle et les effets électroniques de la musique moderne se positionnent dans l'espace loin des enceintes.


A fort volume et sur les modulations complexes, le système fait valoir ses aptitudes à analyser sans faille les moindres détails, peut-être au détriment de l'équilibre. C'est à volume raisonnable qu'un véritable bouquet de qualités sonores et musicales envahit la pièces. La transparence extrême de la chaîne bénéficie de l'apport d'un symétriseur de courant, qui procure une impression de pureté renforcée qui n'a rien de subjectif.



Nous revenons à la musique, les disques se suivant avec bonheur.


La soirée se conclue sur la terrasse à siroter bière et coca en parlant de tout autre chose. C'est ainsi, quand la musique est bonne...



Merci à Sylvain, son épouse et ses garçons pour leur chaleureux accueil.